Réception de fin d’année à la Galerie 7 Parnassiens

Pour célébrer la fin de l’année, les étudiants, professeurs, familles d’accueil et amis du VWPP se sont retrouvés dimanche 8 mai à la Galerie 7 Parnassiens à Paris lors d’une réception et du vernissage de l’artiste Félix Aberasturi. L’évènement a été en grande partie organisé par un étudiant du VWPP, Eduardo Gomez, qui a fait un stage à la Galerie 7 Parnassiens, et son maître de stage, Katy Sroussy, directrice artistique de la galerie.

La soirée a été un franc succès – merci à Eduardo, et merci à Yu d’avoir immortalisé ces moments !

Photos : Kanyakrit Yu Vongkiatkajorn

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Atelier de cuisine et de photographie gastronomique, par Kanyakrit Vongkiatkajorn

Combien de temps faut-il pour préparer un repas gastronomique?

La réponse : trois heures.

Le lundi 7 Mars j’ai eu l’opportunité d’assister à un atelier de cuisine au Lycée Hôtelier Guillaume Tirel pour prendre des photos. L’atelier faisait partie d’un projet de design et cuisine avec une autre école de design à Paris. Chaque étudiant de Guillaume Tirel avait un partenaire de l’école de design, et ensemble, ils créaient des nouvelles recettes de cuisine française traditionnelle avec un important changement : chaque plat doit pouvoir être mangé à la main.

L’atelier était donc très intéressant et vivant. Les étudiants ont travaillé pendant toutes les trois heures de l’atelier, sans pause, pour arriver à un produit final qui est très, très petit, mais extrêmement nouveau. J’étais très contente d’avoir vu les étudiants en train de cuisiner et travailler, et bien sûr, de comprendre comment est faite la gastronomie française.

Texte et photos : Kanyakrit Vongkiatkajorn

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La danse Butô, par Brittni Zotos

Dans une conférence proposée par Françoise Jasmin et le Vassar-Wesleyan Program à Paris le Jeudi 10 Mars 2011, nous avons échangé autour de la danse Butô, de son origine et de la notion d’Avant-Garde.
Quelles sont les origines de cette danse ? Françoise explique que le Butô aurait pu naître partout, il existait avant mais il a été mis en lumière au Japon, dans le contexte d’Hiroshima. Ses deux fondateurs pionniers sont
Kazuo Ohno et Tatsumi Hijikata. Le Butô se développe dans la reconstruction, la revalorisation de la personne et un retour au bon sens, ce n’est pas un style de danse mais une vision de la vie. Lorsque l’on danse le Butô, on s’adonne au mouvement libre pour revenir à un état ​​d’esprit sincère et constructif. En comparaison il y a d’autres danses qui sont fondées sur un mouvement plus artificiel. Dans ces genres de danse qui utilisent la notion de chorégraphie dans son sens le plus rigide, le mouvement libre, c’est à dire le mouvement sincère est limité.  Françoise a introduit le terme « El duende », lequel décrit la force et le talent qu’il y a dans chacun d’entre nous et auxquels la danse Butô fait appel. Nous avons discuté un peu du lien entre la danse Butô et le Flamenco, qui permet aussi de mieux comprendre la notion du « El Duende ». Lorsque l’on danse le Butô, on s’engage dans une expression naturelle qui n’est pas forcée car elle est issue d’un mouvement d’adaptation. Ce type de mouvement montre et fait prendre conscience de la puissance du corps, c’est le vrai mouvement qui permet de retrouver une estime de soi, une mise en valeur et une reconnaissance de soi. Souvent, les gens se définissent par les métiers. Mais la position professionnelle n’est pas ce qui construit la personne. Ce qui construit la personne c’est l’esprit, l’état d’esprit. On peut découvrir ou redécouvrir cet état de bon sens lorsqu’on danse le Butô. Donc, ce faisant, la Danse butô améliore nécessairement les relations humaines qui ne se construisent que sur la base de la reconnaissance de soi et des autres. Dans les entreprises, la danse Butô serait un moment fondamental pour améliorer les relations humaines, l’engagement et l’esprit entrepreneurial car elle amène un état d’esprit naturel, humble et la perception de soi et des autres. De plus, prendre en compte le corps, élément fondamental de toute vie humaine, de toute acceptation de soi, est indispensable.  Nous sommes dans une société qui développe le mental mais le corps qui est laissé de côté ou mal pris en compte, voire souvent blessé, se manifeste tôt ou tard et pas toujours de la bonne façon. Nous avons mis en lien ce concept de la danse Butô cité précédemment en mettant en lumière le fait que la Danse Butô est avant gardiste dans le sens où, elle est en avance sur son temps par le simple fait qu’elle rappelle les évidences, propose un retour au bon sens en mettant de côté ce qui est prôné aujourd’hui, c’est à dire l’innovation à tout va, sans sens, en faisant appel à des situations crues, imaginaires ou fantasques, voire technologiques, en mettant de côté les fondements de la nature humaine et la nécessité que l’artiste a de participer à l’évolution des mentalités.
Bien sûr, nous pouvons dire que le Butô a été inspiré par des mouvements avant-gardistes occidentaux mais il semblerait plutôt que ces derniers aient été des exemples qui ont mis en lumière le bon sens universel et autorisé les personnes qui étaient dans le même état d’esprit à aller jusqu’au bout de leur Art.
Françoise Jasmin, dans sa démarche, prône un retour aux vrais fondements de cette danse qui a parfois perdu de son essence au profit d’un esthétisme artificiel.

Texte : Brittni Zotos, Françoise Jasmin, Aurélie Pras

Photo : Human Dance

Note : Brittni Zotos, étudiante du VWPP, effectue un stage de communication à l’école de danse Human Dance. C’est dans le cadre de ce stage qu’elle a organisé la conférence de Françoise Jasmin à Reid Hall.

Excursion en Champagne

Le 19 mars, nous sommes partis en Champagne pour découvrir la région et ses trésors ! Nous avons visité les caves Mercier à Epernay – une visite très intéressante suivie d’une dégustation – puis nous nous sommes rendus à Reims pour explorer la ville où étaient sacrée les Rois de France Capétiens. Étaient aussi présents Anne-Sophie, qui sera FLTA à Vassar l’année prochaine, et Alexis et Julie, qui seront FLTA à Wesleyan.

Photos : Cécile Ehrhart

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Visite de la Conciergerie et du Musée Carnavalet

Le vendredi 4 mars, les étudiants du cours sur la Révolution Française ont visité la Conciergerie (la prison ou était enfermée Marie-Antoinette les mois précédent son exécution) et le musée Carnavalet (musée de l’histoire de Paris, avec une section sur la Révolution Française).

Photos : Cécile Ehrhart

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Cours de pâtisserie « Art Macarons » par Yu

Le 11 février j’ai assisté à un cours de pâtisserie à Art Macarons où j’ai appris comment faire des macarons ! C’était une opportunité merveilleuse pour moi, parce que j’aime beaucoup les macarons, et c’est aussi un dessert que la plupart des gens considèrent comme « typiquement français ». Une autre chose importante à comprendre sur les macarons c’est qu’ils sont très difficiles à faire ! Le résultat dépend plus des techniques et de l’expérience que des recettes. Donc, c’était une expérience très instructive, et j’espère qu’un jour je pourrai faire des macarons moi-même.

En outre, si vous aimez beaucoup la cuisine et les pâtisseries, je vous recommande de visiter les magasins spécialisés comme G. Detou, A. Simon, La Bovida (près de Châtelet-les-Halles) où vous pouvez acheter plein de choses pour la cuisine. Les patrons sont souvent très sympa et peuvent répondre à toutes vos questions, etc. Il y a, bien sûr, beaucoup de magasins comme ça à Paris, et c’est une bonne expérience pour regarder tous les matériaux nécessaires pour les cuisines et pâtisseries française.

Texte et photos : Kanyakrit ‘Yu’ Vongkiatkajorn

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